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6 janvier 2006 5 06 /01 /janvier /2006 14:17

Cette année commence tout doucement pour superbueno. Doucement comme un matin de week-end chez les GGSimCél.

Question: combien de Nokia 6230i dans la pièce?

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31 décembre 2005 6 31 /12 /décembre /2005 12:58

La paire webcam/messenger a changé ma vie:

Ceci accompagné du texte: "Ton neveu vient de se brosser les dents pour la première fois, après avoir fait un gros pipi dans son pot... c'est beau de le voir grandir".

 

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28 décembre 2005 3 28 /12 /décembre /2005 12:56

En Espagne, le Père Noël est gros, vert, et il oublie son bonnet un peu n'importe où. Si, si:

Si par hasard vous vous demandez comment c'est possible que je mette aujourd'hui des photos qui ont plusieurs jours, sachez qu'aujourd'hui, c'est hier ou la semaine d'avant... Après vous pouvez toujours vous demander où est l'intérêt de diffuser une photo d'un bonnet de Noël vert alors que Noël est déjà passé, en plus. Je ne répondrai pas à cette question.

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26 décembre 2005 1 26 /12 /décembre /2005 12:50

Ma nouvelle voiture. Une R12. Elle bénéficie de toutes les avancées technologiques apportées par la participation de Renault en F1. Superbe, n'est-ce pas?

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23 décembre 2005 5 23 /12 /décembre /2005 12:48

Lundi: repas de SEDITEC et AEROCONSEIL IBERICA. Vous avez eu un petit aperçu de mon état dans mon précédent message. C'est que pour nous préparer psychologiquement à ce repas d'entreprise, nous avons commencé par jouer au Kaker Laken Poker chez Yann et Laetitia, tout en sirotant des ti-punches. Ensuite, le repas a un peu dégénéré avec des discours, en arabe (!) et des chansons. Je crois que notre directeur général a eu une bonne idée de l'ambiance qui pouvait régner parmi ses ouailles.

Mardi: pour boucler la boucle et en hommage à un premier repas dans un resto mexicain effectué il y a déjà six mois le lendemain de l'arrivée de Chérif (et une semaine après la mienne) et resté dans les annales (entrefilet sous-évalué dans l'édition du 19 juillet du présent blog), Chérif, Cédric, Alexis, David Jim (qui est espagnol, c'est remarquable) et moi retournons dans le restaurant mexicain. Margarita et tortillas sont excellentes. L'ambiance aussi.

Mercredi: le midi, double apéro de départs au boulot et le soir, repas avec les espagnols du département. On est une cinquantaine à envahir le Tony Roma's situé juste à-côté du stade, un soir de défaite du Real 2 à 1 chez lui contre le Racing Santander... Lorsque Chérif, Alexis et moi nous asseyons à une table, David M, l'espagnol avec qui je bosse tout le temps se lève d'à-côté sa copine, "eh, je veux être avec vous, moi", la laisse plantée sur sa chaise et vient d'asseoir avec nous! On mange des ribs, on fait plein de discours (une dizaine d'arrivées depuis juillet et quelques départs en décembre) et on rigole bien. Après le repas, évidemment, on sort en boîte. C'est la folie, il suffit de montrer un truc débile à un espagnol pour qu'il le fasse ensuite pendant toute la soirée. Après la boîte, il y a une deuxième boîte, et encore après, paraît-il mais j'ai rendu les armes vers 4h, encore une autre. Le lendemain, j'étais au travail à 7h45, pour le challenge, je suis vraiment trop bête.

Jeudi, c'est la quatrième épreuve. Journée très difficile malgré (ou à cause de lui) le repas de midi "amélioré" de la cantine. C'est fou comme 5 heures de non-travail peuvent être dures.

Jeudi soir, soirée "fonds de bouteilles" chez Marta, qui déménage en janvier pour habiter avec deux copines (Julieta, pour ceux qui connaissent, et une voisine d'enfance). Cette coloc promet beaucoup. En tout cas, soirée excellente, suivie par encore une sortie en boîte (je rappelle que les boîtes sont très peu payantes, ici). Coucher 5h30. Chérif m'appelle ce matin à 10h parce qu'il avait oublié de poser aujourd'hui comme jour de congés...


Et aujourd'hui, b'en aujourd'hui c'est journée "dernière fois avant vacances": je vais boucler cette valise, faire les derniers achats de Noël, manger avec mon coloc et me balader avec Chérif qui rentre définitivement en France.
Ah là là, ce sont les meilleurs qui partent. Ci-dessous, GrandAurélien et PetitChérif.

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20 décembre 2005 2 20 /12 /décembre /2005 00:43

Un petit article tout court pour raconter mon week-end, qui était excellent.

Je dis ça, je suis un peu bourré par le repas de Noël de ma boîte que je viens de quitter. Je me sentais mal car demain j'ai une formation assez importante et, du coup, je suis parti alors qu'ils doivent être encore en train de se marrer à ventre déployé. Si je puis dire.

Donc, vendredi soir, on a fait la soirée d'adieu de notre tombeur de service, j'ai nommé Aurélien. Petit apéro très dînatoire qui s'est terminé vers 2h car le lendemain, nous avions PAINTBALL. Première fois que je fais ça. A 8 espagnols contre 12 français, j'ai joué avec les espagnols. Et nous avons mis une bonne tôle à ses gabachos prétentieux. C'était excellent. Ils sont forts, les espagnols. M'enfin l'enseignement de celà, c'est, je crois, que plus on tire, plus on touche. C'est un enseignement assez pessimiste.
Il faisait super beau samedi -il fait d'ailleurs toujours super beau- et on a terminé en sueur. Genre "le pull était de trop". Et on avait faim. Le temps de manger une pizza, de revenir en ville et il était largement temps de se diriger vers le grand concert contre la pauvreté avec Texas, Coti, Amaral et Melendi. Bon, Texas, vous connaissez, non? C'était d'ailleurs à peu près le meilleur concert. Pour le reste, bof... Coti, qui n'est pas si mal sur disque, est vraiment nul en direct; Amaral, par contre, s'en sort très bien avec des morceaux qui sortent beaucoup plus rock en live que sur le disque, vraiment trop miello-variéto-commercial; mais je dis peut-être ça parce que je suis tombé amoureux de la chanteuse; Quant à Melendi, je n'ai pas pu rester jusqu'au bout; c'est une sorte de latino-reggae que mes yeux n'ont pas pu supporter: ils ont fini par se cacher derrière mes paupières.
Dimanche, réveil 13h36. Formidable, c'est ce dont j'avais besoin depuis une semaine. Balade dans Madrid, DVD de "Los Amantes del Circulo Polar" avec Alexis, superbe histoire, et petit verre dans Malasaña, pour terminer en beauté un - je l'ai déjà dit - excellent week-end.

Mais là, faut vraiment aller au lit... Vivent les vacances, et bonne nuit à la Terre entière (désolé, j'ai tendance à l'emphase quand j'ai bu).

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16 décembre 2005 5 16 /12 /décembre /2005 14:50

Catastrophe. Plus que trois jours pour acheter les cadeaux de Noël (le journal gratuit du matin a tendance à l'exagération). Hier, j'ai essayé après le travail de faire un tour dans les rues commerçantes à-côté de chez moi. L'intention était louable mais la volonté, faible. Tout ça s'est bien vite terminé par le tour de deux galeries d'art et celui du marché, pour acheter du pain et du jambon pour mon sandwich d'aujourd'hui. Question médicale: c'est où, dans le corps, le lieu de la fatigue? Je dis ça parce que cinq jours après la fin des vacances, j'ai encore une grosse barre en travers de ce truc-là. Je suppose que ça doit être dans le crâne, vers le nez, parce que ça tire mes yeux vers le bas; depuis que je suis rentré, je me suis couché une seule fois après minuit et je n'arrête pas de refuser des invitations à sortir. Tout ce que j'ai fait, c'est une expédition squash et une sortie théâtre. D'ailleurs, si vous avez l'occasion d'aller voir une pièce qui s'appelle "La méthode Grönholm" ou un truc comme ça, foncez. Ça traite de l'entreprise en général et des entretiens d'embauche en particulier, c'est vraiment très bien. À Madrid, il paraît que ça fait deux ans qu'ils la jouent tous les soirs.

Alexis, lui, joue au théâtre quand il joue au squash:


Pour le reste, il y a quand même un gros changement dans ma vie qu'il me faut annoncer ici. Attention, c'est un changement professionnel, c'est pas hyper fun: je vais démissionner de ma boîte. Bon, c'est juste pour me faire embaucher par la filiale espagnole. Je vais travailler un peu plus avec un peu moins de congés (mais pas sûr car on pourra récupérer les heures supplémentaires) pour gagner un peu plus (mais pas sûr car il y aura des frais supplémentaires, en santé par exemple). Rien de spectaculaire, quoi. Juste que ma carte de visite aura la mention Aerconseil Iberica au lieu de Seditec. C'est beaucoup plus classe, quand même.


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12 décembre 2005 1 12 /12 /décembre /2005 22:29

Voilà voilà voilà, ça fait plus d'une semaine que j'ai laissé tomber ce bon vieux blog. Alors forcément, si je veux raconter mes vacances - et je veux raconter mes vacances - ça risque de me prendre un peu de temps à écrire et pour vous, un peu de temps à lire. En même temps, vous n'êtes pas obligé de lire: je me suis aperçu que ce blog, je le faisais aussi pour moi, comme un bel album photo souvenir.

D'ailleurs, les photos qui vont avec sont disponibles dans le même ordre à l'adresse http://yokyok877.free.fr/Vannes_Paris_Blois, et en grand format dans le fichier zip http://yokyok877.free.fr/Vannes_Paris_Blois/photos.zip.

Tout commence donc à 14h20 le vendredi 2 décembre: je quitte le boulot, en direction de l'aéroport. Même un peu avant, lorsque j'envoie ce mail donnant rendez-vous à ceux qui veulent (ou peuvent, ou etc...) à 21h à la Butte aux Cailles. C'est un peu triste mais les départs en vacances débutent souvent par une galère à l'aéroport. C'était le cas. J'avertis donc Tortue que je vais être à la bourre pour poser mon sac chez lui. Un contre-temps en entraînant un autre, Tortue sera à la bourre chez Damour pour la petite bouffe "Restos du Coeur" prévue. J'arrive à Paris avec une heure et quart de retard, à 20h. Tortue désirant aller à son repas, il me donne rendez-vous chez Damour, dans le 15e, pour que je récupère là-bas ses clés. Avec le recul, oui, cela semble une très mauvaise idée, c'est vrai. Bref, après une dizaine de coups de téléphone et après avoir courru chez Damour, l'objectif de 22h paraît lui-même irréaliste. J'arrive à la Butte aux Cailles vers 22h30. Milie et Eric me cueillent à l'arrêt de bus. "Non, ne me frappez pas!". Tout ça, donc, pour passer finalement une excellente soirée dans le pub juste à-côté du Merle Moqueur puis chez Tortue. Couché 4h.
Lever 6h, je fonce à la gare Montparnasse pour avoir le temps de faire refaire mes billets de train qui ne sont jamais arrivés chez Champion. Train de 8h05 avec Natalie. Aurélien et Flora nous accueillent à la gare de Vannes. Le reste de la journée est consacré à manger et à se balader vers la Pointe d'Arradon en évitant les gouttes de pluie. Non, ça, c'est pas possible. Dommage que, pris d'une hésitation très mienne, j'ai laissé le parapluie à la maison... Le soir, arrivée d'Emilie et crêpes.
Le dimanche, on prévoit de pique-niquer sur l'Île d'Arz. On y accède en prenant le bateau depuis Conleau. On n'est pas encore arrivé sur l'île qu'il se met à pleuvoir. Cela s'arrête très rapidement, mais le ciel, là-bas au loin, menace fort. On pique-nique en marchant car de toute façon, il fait trop froid et trop humide pour se poser quelque part. Le ciel, là-bas au loin, arrive sur nous et nous nous prenons un grain bien agréable, obligés de nous arrêter sous un arbre entre un terrain vague et une benne à ordure. Après ça, la tisane est la bienvenue.
Lundi matin, Aurélien repart au boulot et ma laisse avec les trois filles pour aller à Quiberon en passant par Auray, son petit port difficile à trouver, la Trinité-sur-Mer et Carnac. Soleil, pluie, falaises, vagues, écume et menhirs (pour la petite histoire, placés là par Obelix et Asterix, les potes respectifs de Flora et Natalie). Retour tisane et soirée pyjama à la lueur des enseignements de "Bien dans ma vie".
Mardi, après le brunch traditionnel, nous passons au Super U pour choisir un "sentier d'Emilie" que l'on puisse faire pendant la journée. Balade dans les chemins boueux et pique-nique sur la plage. Le soir, Emilie repart. Soirée ragots avec les deux restantes!
Mercredi, dernière petite balade autour du gîte pour admirer la mer une dernière fois (sûr que c'est pas à Madrid que je vais la voir), ménage et puis départ en train pour Paris. Arrivé à Montparnasse, je laisse mon sac à la consigne et je pars immédiatement au Tournesol pour y rencontrer Isabelle, Fab et Dany. Finalement, c'est initialemement Tortue et Milie que j'y croise, par hasard. Après la soirée croque-monsieur/Leffe/carafe de vin et un passage à la gare Montparnasse, je retrouve Damour chez lui. Couché 2h30 après une trop courte discussion.
Jeudi, réveil 8h. J'embarque mon sac à dos et retrouve Juliette pour un très agréable petit déjeuner au Pain Quotidien. Echanges fructueux sur l'honnêteté et les relations filles/garçons. A 11h, je repasse par la gare Montparnasse pour y laisser mon gros sac et je pars à Dassault. Repas japonais avec Eric et Corinne suivi d'un café dans mon ancien service. Encore une fois, l'ambiance y a l'air à la plongée sous-marine. En apnée. Je retrouve ensuite Memel et sa petite Inès. Pour deux heures de calme et de tranquilité. Pur bonheur zen. La nuit tombe ensuite sur Paris et la Tour Eiffel se met à scintiller. Je me balade du Champ de Mars à Montparnasse, avec une pause au Cristal pour y boire une bière et réfléchir un peu à mon futur contrat espagnol. Entre autres choses. A la gare, je récupère mon sac à dos et je pars vers Château d'eau pour y manger avec Estelle, Marco, Sandrine et Damiano. A 23h, je tombe. A minuit, j'appelle Champion pour lui dire que ce n'est pas la peine de passer. A minuit trente, je dors.
Réveil vendredi à 6h30 pour prendre le train de 7h22 pour Blois. Flora vient me chercher à la gare. Petit-déjeuner, séance visionnage de photos de Guadeloupe, déjeuner, petite balade le long de la Loire, préparation du lendemain, sieste, Aurélien rentre du boulot, repas, re-sieste et en route vers le Z64! On y arrive à minuit, c'est kitch et vide. Estelle, Nam, Champ et Tortue arrivent un peu plus tard et la boîte de nuit, avec ces moments de zouk, de rires et de discussions, nous emmène jusqu'à 4/5h du mat'. Mini-mini soirée pyjama.
Samedi, réveil 11h, gros brunch et visite guidée du château de Chambord. Il fait bien froid là-dedans. Dommage que, pris d'une hésitation très mienne, j'ai laissé écharpe et gants à la maison... Dine, Vinz, Mel et Nès nous retrouvent à la sortie de la visite. Emilie arrive enfin, pour la soirée goûter/sudokus/ti punchs/milk shake/anniv (mais de qui? de Vinz? noooon...)/danse/tabou (victoire des filles, ok). Couché 4h.
Réveil 7h15. Flora, déguisée en lutin des bois (j'ai bien une photo, mais elle m'a demandé de ne pas la divulguer), me conduit jusqu'à la gare de Blois? Non, celle de Mer. Et pas de Noirmoutiers. Bref. A Paris, j'ai un peu de temps et j'en profite pour me balader entre Saint-Michel et Luxembourg. Après un café-croissant au Petit Suisse, je me dirige vers le RER en passant devant la superbe expo "Est-ce ainsi que les hommes vivent?". Derniers coups de téléphone à l'aéroport avant le retour à Madrid.
Dodo...
 

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30 novembre 2005 3 30 /11 /novembre /2005 20:10

Vous connaissez tous, je suppose, le sudoku. Hyper tendance! Tellement que c'est déjà ringardos: imaginez, on trouve des sudokus jusque dans la version espagnole du Gala, et avec trois niveaux de difficulté en plus!

[Note: si j'ai eu un Gala entre les mains - et même deux -, c'est uniquement parce que je fréquente la salle d'attente de mon podologue. Je précise. D'ailleurs, la deuxième fois, j'ai pensé à apporter mon bouquin.]

Bon, un sudoku vraiment difficile, c'est ça (attention, je ne dis pas que je l'ai fait; je m'y suis attaqué et j'ai arrêté après avoir compris que c'était vraiment difficile; après deux minutes, quoi):

 

Et maintenant, le niveau "difficile" du Gala:

Et si vraiment vous n'y arrivez pas, la solution est à la page suivante du même numéro (attention, il faut quand même retourner le torch..., euh, magazine).

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29 novembre 2005 2 29 /11 /novembre /2005 19:16

Commandé le 15 octobre, reçu le 29 novembre.
Ce câble est ma webcam.

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