Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 février 2006 7 12 /02 /février /2006 21:54

Pouh là là, la vie est dure pour superbueno...

Quatre jours de ski en Andorre il y a déjà deux week-ends: beau, enneigé, sympa et drôle:

Et on a bu beaucoup de lait:

 

(je fais vite car je veux vraiment aller au lit. Ce dernier week-end en Paris Express Tortue n'a pas vraiment amélioré mon état de forme physique).

Petites nouvelles en cascade:
   je me suis mis au snowboard,
      je me suis fait mal au poignet le premier jour,
         j'ai toujours mal après une semaine,
            j'ai oublié dans l'avion la protection à vingt-deux euros achetée en Andorre,
               mais quand même ça va de mieux en mieux je crois;
                  je reprends demain le foot après l'interruption genou ,
                    mais est-ce bien raisonnable en ayant mal au poignet?
                       j'ai oublié mon écharpe chez Tortue,
                          j'ai encore les tempes rouges de la teinture de mes cheveux de samedi,
                             je suis fa-ti-gué,
                                mais je suis un RIDER!

Partager cet article
Repost0
30 janvier 2006 1 30 /01 /janvier /2006 23:20

Vendredi soir, 19h, je croise en bas de chez moi un groupe de 16 (j'ai compté) filles en mini-jupes, entre 16 et 18 ans, qui rentrent dans une boîte.

Samedi matin, 5h30 du matin, encore une fois à-côté de chez moi. Il fait environ -5 degrés:

 

Et puis dimanche soir, la grosse affaire, on l'attendait depuis le début du week-end: il a neigé.

 

Mais quand même, le gros truc du week-end, c'est pas les deux soirs à 6h du mat' avec une super crémaillère, les Loups-garous, les Elixirs, les Cafards, non, le gros truc du week-end, c'est...
                                 ...mon premier cours de tango.   Excellent.

Partager cet article
Repost0
27 janvier 2006 5 27 /01 /janvier /2006 18:20

Comme l'a dit Ben Gourion:

Il ne faut surtout jamais faire de sport dans les jours qui précèdent des vacances de ski, 
'manquerait plus qu'on s'casse quelqu'chose.

J'ai mis cet excellent précepte en application stricte dès qu'un mal au genou s'est déclaré après le match de squash qui avait suivi le match de foot qui avait suivi le ski au Xanadu, à deux petites exceptions près:

1. un petit squash pépère;

2. le billard de mardi soir.

 

C'était pas facile, on jouait au milieu des ours.

 

 

 

Partager cet article
Repost0
23 janvier 2006 1 23 /01 /janvier /2006 21:38

Après la soirée Erasmus du jeudi soir, je dois avouer que le vendredi fut long et difficile. Non, 4h30 de sommeil, ce n'est pas suffisant pour tenir convenablement près de vingt-quatre heures.
Ce petit préambule posé, que s'est-il passé de remarquable ce vendredi soir? B'en j'ai quitté le boulot vers 15h30 sur les rotules, je me suis traîné jusqu'au marché pour faire deux, trois courses de chorizo, jambon, j'ai jeté tout ça dans mon petit sac de voyage et je suis parti pour l'aéroport.
Le voyage a été superbe, magnifique, étonnant, et je suis arrivé à Londres-Luton à 23h, heure locale après deux heures de sieste plus ou moins profonde. Bus vert: quarante minutes de sieste supplémentaire. J'en avais bien besoin pour le sprint final pour attraper le dernier métro. 319, Upper Street, qu'il m'avait dit, Guillaume; à la sortie du métro, je remonte la rue côté gauche, du numéro 1 au numéro 257 (c'est long) sans pouvoir trouver le numéro 319... Le sac commence à être lourd tandis que j'essaie d'appeler Guigui qui ne répond pas... Quand il me rappelle, il m'explique que les numéros de la rue augmentent à gauche jusqu'au bout de la rue et continuent à augmenter en redescendant la rue à droite. Il est finalement plus d'1h du mat quand je pose mon sac dans le très grand appart' de Guillaume. Une petite bière et on sort; c'est facile: il y a des bars tout le long de Upper Street (côté gauche). Et là, c'est la déception prévue: à peine bu un petit verre que la pourtant très bonne musique s'arrête et que les lumières se rallument. Tant pis, on finit la soirée aux échecs (je ne sais si c'est l'heure tardive, le Red Bull ou trop de maths mais je gagne Guillaume deux manches à une, c'est une première (mon précédent record était un Pat, je crois...)).
Le lendemain, samedi, réveil à une heure moins vingt un peu en catastrophe: le fils Benjamin d'une collègue de la cousine de Guillaume - qu'il n'a encore jamais vu - doit venir avec sa copine Sylvie pour manger au resto dans le coin, à une heure. Très bon resto en tout cas. Le courant passe très bien avec le nouveau couple et ils restent prendre l'apéro le soir, alors qu'Alex nous rejoint. Là, je sors mon jambon Serrano, Guillaume sort son Vaqueyras 99, Alex sort sa bouteille de Champagne et Benjamin et Sylvie sortent des petites gâteaux du patissier du coin.

Un double apéro-anniversaire (Alex, 30 ans, et Sylvie, 29) qui se termine à danser dans le salon sur de la musique Gula Villan. A partir de là, ça devient plus flou.

Enfin, vers 9h, on sort, on trouve un bar avec de la bonne musique et on reste à boire, danser et discuter jusqu'à la fermeture, vers 3h. Grand moment, à la sortie du bar, lorsqu'on se met à dix (donc plein d'anglais) pour jeter en l'air Alex et Sylvie.
Refusant de terminer la soirée là-dessus, Alex invite toute la rue chez Guillaume. Seuls un canadien sympa et un suisse trèèès bizarre, bientôt rejoints par une blonde trèèès vaporeuse et son ami trèèès gay, hêlés depuis la fenêtre de l'appart' de Guillaume, nous rejoignent. De tout ça, il ressort de bonnes rigolades par la fenêtre et des conversations assez surréalistes ("Que fais-tu tout seul dans la salle de bain? -B'en je cherche le détachant pour moquette, pour enlever les taches de vin que tu viens de faire... Euh, et vous? -Nous, on pensait prendre un rail de coke, tu en veux? -euh... non, mais je vais sortir tranquillement de la salle de bain, hein, de toute façon, du détachant, il n'y en a pas, et je vais vous, euh, laisser tranquille, ok?" -Bon, finalement, ils se sont cassés peu après, sans avoir sniffé et avec les canado-suisses). Une excellente soirée, quoi, qu'on a terminé devant le DVD de Bernie.

Dimanche matin, Benjamin et Sylvie nous quittent (déjà...). Ils sont arrivés la veille pour déjeuner avec un gars qu'ils ne connaissaient pas et ils sont finalement restés dormir. On peut dire que le courant est passé.
Quant à nous autres trois camarades, nous avons rendez-vous brunch avec Lolotte! que je n'ai pas vue depuis son mariage en septembre. Un brunch branché mais très bon encore une fois (qui a dit qu'on mangeait mal en Angleterre?). Et puis c'est déjà l'heure du retour pour Alex - qui paraît-il a réussi à avoir son Eurostar - et moi. Anne-Laure me raccompagne jusqu'au bus. De là, bus vert: quarante minutes de sieste, et avion: deux heures de sieste plus ou moins profonde...

Partager cet article
Repost0
20 janvier 2006 5 20 /01 /janvier /2006 01:58

Souvenez-vous...

 

... soirée Erasmus ... ça vous dit quelque chose?

Donc, après un squash sur une patte, deux pintes bien plus grosses que ça acompagnées de papas bravas et deux bons verres de cidre, on est rentré à la soirée Erasmus du jeudi soir. C'est dans un lieu qui se veut "Palais", juste à-côté de l'autre grosse boîte, le Joy, et ça ressemble en effet à un palais, avec miroirs aux murs et fauteuils Louis XV.
La population, par contre, n'est pas Louis XV. Beaucoup plus jeune.

J'ai craqué, j'ai été responsable et je suis parti peu après 1h.

... pfft, travail demain. Beaucoup travail. Puis avion pour Londres. Là, dodo. Dûr dûre, la vie. Valise. Pfft.

Partager cet article
Repost0
18 janvier 2006 3 18 /01 /janvier /2006 15:16

La santé, c'est pas encore ça: j'ai chopé une contracture au temps.

Maintenant, il s'agit de rattraper ça et comme chacun sait (ou ne sait pas mais alors je me permets de faire profiter les petits jeunes de mon expérience (à propos, malgré tous mes efforts vestimentaires et cosmétiques, je commence à être sérieusement démasqué: je suis vieux. Si, si, c'est les nouveaux qui le disent. Ah là là, 23 ans et ça se croît préparé à affronter la vie...)), le temps, si on ne s'en occupe pas comme il faut, il passe et on le perd.
Tout ça, donc, pour dire que je me suis formidablement préparé pour la saison de ski en allant avec Céced et Séseb au Xanadu, temple madrilène du ski indoor: un téléski, un télésiège et une piste de deux cents mètres, verte. Mais blanche, du blanc de la neige artificielle. Quinze euros l'heure de ski, location du matériel non-comprise. Une excellente surprise: on a fait tous les deux du surf, je suis très content de nous et j'envisage de m'y mettre sérieusement. Une mauvaise surprise: cette torture est très mauvaise pour mes genoux, déjà bien cagneux comme chacun sait. Conclusion: je vais relancer la carrière de ma genouillère mais je crois bien que je vais tenter de lancer ma carrière de funky rider.
Deuxième découverte du week-end, qui est en fait une mise au jour de vestiges datant de l'époque amigaïque (c'est marrant, je n'avais jamais fait le lien entre "Amiga", comme l'ordinateur, et le mot espagnol pour dire "amie"; mon Amiga = mon amie. L'expatriation, y'a pas à dire, ça ouvre des perspectives), c'est Worms. Après le Xanadu et après le resto, on est passé un peu par hasard chez Cédric et on a finalement passé plusieurs heures (jusqu'à près de 3h du mat', quoi...) devant une démo (un seul niveau disponible; on appelle ça "tableau", je crois) de Worms 4. Ce sont des petits vers de terre qui se font la guerre à coup de bazookas et d'attaques de vaches aéroportées; ceux qui ont déjà joué s'en souviennent forcément. Avec quelques parties de PES 5 derrière, cela fait quand même la deuxième soirée jusqu'à 5 heures du mat' en deux semaines qui est consacrée à peu près exclusivement aux jeux vidéos. On file du mauvais coton; la prochaine fois, je propose un scrabble. Ah,ah.

Devinette: quel est le point commun entre un cubain tout bourré né en France et ayant vécu au Zaïre et un noir-américain de la Nouvelle-Orléans parlant parfaitement français mais les détestant et ayant vécu en Norvège?
Réponse: ils étaient tous les deux dans le même bar que nous samedi soir. Avec moins d'alcool, la conversation aurait pu être passionnante. Dommage, au lieu de ça, on s'est juste fait arnaquer de deux euros.

Maintenant, la page Sports:
Lundi, l'équipe des français de CASA a subi une défaite humiliante contre des espagnols en infériorité numérique. Une organisation digne du parti des Verts et une condition physique de canard gras associées à des erreurs individuelles dont pâlirait même le petit Nono, deux ans, ont eu raison des espoirs français. Résultat final: 6 à 5 pour les locaux.
Mardi, squash en triplette entre Cécé, Yoyo et Sisi. Yoyo, souverain, remporte le tournoi mais n'empoche rien d'autre que la centaine de pièces de cinq centimes que le distributeur de tickets de métro lui a rendu sur son billet de 20€. C'en est trop, la poche est pleine.
Mercredi, Sylvain B. et Cédric L. doivent déclarer forfait pour le match du jour, l'un pour la réapparition d'une douleur chronique - mais qu'on croyait disparue - au genou, l'autre pour un point de douleur insomnifère dans le dos. Grosse inquiétude pour nos joueurs: le calendrier sportif est-il trop chargé?

Et pour finir sur une note culinaire, je suis passé hier au restaurant "Memento" qui vient d'ouvrir au 1 de la rue Caracas vers Alonso Martinez (à cinq minutes de chez moi) et dont le cuisinier n'est autre que mon coloc Ernesto, la chef et propriétaire, Karen, étant une amie à lui. L'endroit est moderne, design mais plutôt chaleureux. Et pour ce qui est de l'essentiel, je fais tout à fait confiance à ces deux-là pour que ce soit excellent; la carte en tout cas est alléchante, bien qu'assez chère.

Partager cet article
Repost0
12 janvier 2006 4 12 /01 /janvier /2006 20:00

Bon, j'ai des problèmes de congés, là. Pas encore des problèmes d'argent mais ça ne saurait tarder avec tout ce que je fais, c'est n'importe quoi (cette phrase est un hommage à Memel, merci).

En tout cas, quoi qu'il se passe, en examinant mon calendrier, j'ai remarqué que:

- le lundi 20 mars est férié ici;
- la semaine de Pâques, je suis en vacances; soit du 7 au 17 avril;
- les lundi et mardi 1er et 2 mai sont fériés;
- le lundi 15 mai est férié.
- le lundi 5 juin est également férié.

J'imaginais bien mettre à profit la semaine de Pâques pour visiter l'Espagne et/ou faire un tour au Portugal.

Je dis ça, je dis rien mais si vous voulez me faire l'amitié de venir à Madrid, ces dates-là peuvent plutôt bien tomber.

Pout'

Tiens, je fais plein de rêves bizarres en ce moment (évidemment, seulement quand Agata me laisse rêver): un rêve où je devais dormir avec la petite Inès sur le ventre. Du coup, je ne pouvais pas bouger. Ca ne posait pas vraiment de problème mais mon grand frère François flippait beaucoup. Etonnant.

Partager cet article
Repost0
11 janvier 2006 3 11 /01 /janvier /2006 23:14

Allez, un récit rapide du week-end. De toute façon, y'a rien à dire:

Résumé de la journée de vendredi: rien.
Détails: réveil, canalplus.fr et zapping, MSN avec Milie depuis la Réunion, fin du zapping, fin du film "Affreux, sâles et méchants" (film italien FANTASTIQUE) (tout ceci, au lit), petit-déjeuner, les copains débarquent et là, c'est la fin: Mortal Kombat, Medal of Honor, PES4, Resto italien, Chupito, Ghost Dog (de Jim Jarmusch; les deux scènes que j'ai réussi à voir entre mes phases de sommeil étaient plutôt bien) et Mortal Kombat jusqu'à 4h pour terminer; on essaie en vain de débloquer des personnages... 0 résultat.

Résumé de la journée de samedi: rien.
Détails: réveil, courses, soldes, lecture, crêpes, dodo.

Attention, c'était la grosse fête à l'appart', au son de Rilo Kiley:

Beaucoup de boulot aussi: 1h30 d'efforts insoutenables pour ça:

Résumé de la journée de dimanche: rien.
Détails:
une galette à la frangipane,
un Roscón de los Reyes (une coque des Rois, quoi),
une quinzaine de crêpes,
une salade de fruit,
une tortilla,
du pain, de la crème de marrons, du nutella,
du thé vert de Chine et du thé vert du Japon,
du café,
du chocolat à la liqueur d'abricot.

Tout ça fait un excellent brunch qui permet de fêter dignement le passage éclair puis le départ de Chérif, pourtant prévu à une heure pas très sympa: deux heures de l'après-midi.

Une fin de journée hyper active passée avec en point d'orgue le visionnage dans mon lit de Ghost Dog (b'en oui, ça avait l'air bien, il fallait bien le voir en entier; en effet, c'est très bien).

Résolution pour 2006: suivre la voie du samouraï


Partager cet article
Repost0
10 janvier 2006 2 10 /01 /janvier /2006 22:10

Cela faisait longtemps... Dr. Agata la gata s'est transformée en Screaming Cat.
Quelle horreur.
Natalie, par webcam interposée, est témoin.
Eric et Milie s'en souviennent.

Putain de chat...

Partager cet article
Repost0
6 janvier 2006 5 06 /01 /janvier /2006 21:00

Hier soir, grosse ferveur populaire...

 

 ... même pas due au passage de Fernando Alonso ou à la victoire étriquée du Real. Non, non, tous ces gens se sont déplacés pour voir passer les Rois Mages. Parce que c'est bien connu: ce sont les Rois Mages qui apportent des cadeaux aux enfants et pas le Papa Noël.

"Oh mon petit chéri, regarde ce que t'a apporté le Roi Mage: de la myrrhe! Ce devait être Gaspard qui s'occupait du quartier. Bah, tu es content, hein?"

Parce que bon, quand même il faut savoir qu'à chaque roi son petit cadeau symbolique: "l'or de Melchior célébrait la royauté, l'encens de Balthazar la divinité et la myrrhe de Gaspard annonçait la souffrance rédemptrice de l'homme à venir sous les traits de l'enfant". Si, si, c'est pas moi qui le dit.

Bref...  Les Rois Mages:

 

Allez, pour nous réconcilier avec les espagnols, une légende russe: "on raconte qu'il existe un quatrième Roi Mage, qui conduit sur la steppe un traineau tiré par des rennes et rempli de cadeaux pour les enfants. Depuis 2000 ans il a renoncé à trouver l'enfant Jésus, alors il comble de cadeaux les enfants qu'il rencontre en cours de route".

Le Père Noël: un Roi Mage qui s'est perdu. En même temps, avec son traineau de rennes, pour aller jusqu'à Bethléem, c'était pas des plus faciles.

Partager cet article
Repost0